Film des invités

Nico, 1988

Susanna Nicchiarelli

Chef Op : Crystel Fournier

Italie
2018
1h34
VOST
Version restaurée 4K

Jeu. 3 Mars
Espace des Arts
16H00

Muse d’Andy Warhol et chanteuse iconique du groupe The Velvet Underground, Nico, de son vrai nom Christa Päffgen, se produit désormais en solo. En 1986, elle entame une ultime tournée à travers toute l’Europe. De Paris à Prague, en passant par Manchester, concert après concert, l’artiste lutte avec ses démons intérieurs et aspire à reconstruire sa relation avec son fils depuis longtemps perdu de vue…

 

Tout le monde l’appelait encore Nico, longtemps après avoir été la muse de Warhol et son bref passage par le Velvet Underground. Une véritable icône qui a mené sa barque en solo pendant des années. Nico, 1988 raconte sa dernière tournée à travers l’Europe, de la France à la Pologne, en passant par un concert mémorable, et raccourci par les autorités communistes, à Prague. Nico est incarnée par une actrice extraordinaire, Tryne Dryholm, qui semble véritablement s’être glissée dans la peau et dans l’âme de son modèle. Une prestation impressionnante dans un film qui ne cherche jamais à faire le malin, mais qui réussit à capter un peu de l’essence de cette grande dame qui a vécu comme elle a pu avec ses contradictions et ses frustrations. (senscritique.fr)

 

Brûlant, poignant, Nico, 1988 retrouve les accents testamentaires du dernier album de la chanteuse, au titre évocateur, Camera Obscura.
L’intégralité du film est construite à partir des inspirations musicales de Nico : ses performances et les paroles de ses chansons. Ça en dira plus que n’importe quel dialogue ou situation dans le film.(Susanna Nicchiarelli)

Crystel Fournier

Critique(s)

Susanna Nicchiarelli filme les rituels du rock – les tournées, les interviews, la recherche de substances stupéfiantes en milieu hostile – en se plaçant à une distance inédite : on sent la réalisatrice en terrain connu et pourtant, elle ne se départ jamais d’un étonnement amusé et bienveillant. Filmé presque brutalement par la chef opératrice Crystel Fournier, Nico, 1988 ne sacrifie jamais à l’iconographie rock tout en approchant la réalité de cette musique comme rarement on l’a fait au cinémaLe Monde, Thomas Sotinel

Bande Annonce / Extrait

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