Film récent hors compétition

Hijo de Sicario

Mexique
2024
2h05
VOST
De :
Astrid Rondero & Fernanda Valadez 
Image :
Ximena Amann
Scénario :
Astrid Rondero & Fernanda Valadez 
Musique :
Astrid Rondero
avec :
Juan Jesus Varela, Yadira Perez Esteban
Séance(s)

— Sam. 1er Février 2025
Megarama - 18H00

— Lun. 27 Janvier 2025
Megarama - 19H00

— Sam. 1er Février 2025
Megarama - 18H00

— Lun. 27 Janvier 2025
Megarama - 19H00

Après l’assassinat d’un sicario (tueur à gages) dans une petite ville mexicaine, Sujo son fils de quatre ans se retrouve orphelin et en danger. Sa tante est obligée de l’élever isolé à la campagne mais l’ombre de la violence va poursuivre Sujo à chaque étape de sa vie. Comme si le destin de son père devait se confondre avec le sien…

Structuré en quatre chapitres à l’atmosphère changeante, le film épouse à chaque fois le point de vue d’une femme différente qui prend en charge Sujo. Un film envoûtant qui allie thriller et réflexion sociale sur le Mexique d’aujourd’hui.

Grand prix du jury, Festival de Sundance 2024
Grand prix, Festival international de Sofia 2024

Critique(s)

Dans un Mexique écrasé de chaleur, «Hijo de Sicario» raconte l’histoire d’un déterminisme et sa logique tragique. Il est mis en scène par deux femmes (dont Fernanda Valadez, autrice du magnifique «Sans signe particulier», 2021) avec un vrai talent narratif et une redoutable précision du montage. Tour à tour thriller étouffant, western nihiliste, film de fantômes et réflexion sociale sur le Mexique contemporain, «Hijo de Sicario» est un film puissant, à la fois désespéré et optimiste.Le Nouvel Obs, Xavier Leherpeur, 20/08/2024
Histoire d’un cercle infernal que seules les femmes peuvent briser, d’abord la tante de Sujo puis une enseignante, “Hijo de sicario” séduit par son ampleur. Là où la mort arrive si facilement, le temps s’installe. La peur reste omniprésente, la violence est en embuscade, mais la vie continue : une histoire est offerte à Sujo. Organisé en chapitres, le film donne toute sa valeur, presque surnaturelle, au simple fait qu’un destin puisse s’écrire.Télérama, Frédéric Strauss, 20/08/2024
La forme cinématographique ne se contente pas de dresser le parcours initiatique d’un jeune résolu à rattraper son histoire. Les réalisatrices prennent un grand soin à filmer leurs personnages dans des séquences qui semblent sorties d’un tableau de peinture. Le jeu sur les lumières presque à la manière d’une œuvre de Rembrandt, les couleurs orangées et les gros plans au cœur des broussailles apportent au récit une dimension artistique supérieure. On n’est surtout pas dans un récit descriptif ou linéaire, mais bien un film de cinéma où l’image prime sur la fiction.AVoir ALire, Laurent Cambon, 01/09/2024

Bande Annonce / Extrait

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