Film de clôture, Film récent hors compétition

Parthenope

Italie / France
2025
2h16
VOST
De :
Paolo Sorrentino
Image :
Daria D’Antonio
Scénario :
Paolo Sorrentino,Umberto Contarello
Musique :
Lele Marchitelli
avec :
Celeste Dalla Porta, Stefania Sandrelli, Gary Oldman
Séance(s)

— Dim. 02 Février 2025
Megarama - 20H15

— Dim. 02 Février 2025
Megarama - 20H15

La vie d’une femme belle et riche, au nom de sirène, Parthénope, de sa naissance dans les années 1950 à nos jours, entre Naples et Capri. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, d’amour et de Naples. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue. Et autour de Parthénope, les Napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement.

Naples, Capri et la côte Amalfitaine sont à l’honneur dans ce film à la mise en scène sophistiquée.
« J’ai eu la chance d’explorer quelque chose qui n’existe qu’à Naples, une sorte de ville fantasmée, à la force irréelle, portée par une théâtralisation constante de tout » (P. Sorrentino)

Sélection officielle compétition, Festival de Cannes 2024
Prix C.S.T. de l’Artiste-Technicien, Festival de Cannes 2024

Critique(s)

Soudain, la beauté. Elle foudroie. D’un revers de caméra, Paolo Sorrentino repousse la trivialité du monde.Le Figaro, Eric Neuhoff, 22/05/2024
Comme à son habitude, Sorrentino passe son temps à subsumer tout dans tout, la “grande belleza” et la hideur, la vestale et la putain, la débutante (Celeste Dalla Porta) et la star (Stefania Sandrelli), l’abîme de vacuité de la vie de cette ultrariche et le 20/20 qu’elle obtient à la fac auprès d’un professeur d’anthropologie qui la choisit pour lui succéder.Les Cahiers du Cinéma, Charlotte Garson, 22/05/2024
“Parthénope”, c’est diablement romantique, sensuel, sexuel. C’est aussi très grandiose esthétiquement, parfois presque trop car la forme est très souvent écrasante. C’est aussi particulièrement irrévérencieux par instant car dans une forme de constante transgression. Les images sont folles dans cette envie d’invention de couleurs, cette symétrie parfaite façon succession de tableaux. La mise en scène de “Parthénope”, c’est un peu une exposition permanente.Les chroniques de Cliffhanger & Co, JM Aubert, 11/06/2024

Bande Annonce / Extrait

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