Film en compétition

When the Light Breaks

Islande
2025
1h22
VOST
De :
Rúnar Rúnarsson
Image :
Sophia Olsson
Scénario :
Rúnar Rúnarsson
Musique :
Jóhann Jóhannsson
avec :
Elín Hall, Mikael Emil Kaaber, Katla Njálsdóttir 
Séance(s)

— Ven. 31 Janvier 2025
Espace des Arts - 17H30

— Dim. 02 Février 2025
Megarama 10H15

— Ven. 31 Janvier 2025
Espace des Arts - 17H30

— Dim. 02 Février 2025
Megarama 10H15

Seulement 24 heures suffisent pour bouleverser la vie d’Una, étudiante en école d’art. Lorsque Reykjavík est paralysée par la plus grande tragédie des transports de son histoire, Una, comme beaucoup d’autres personnes, est confrontée à une perte et à une douleur soudaines. Mais contrairement à son entourage, elle ne peut pas exprimer et vivre ouvertement ses émotions.

Un film d’une grande sensibilité qui explore avec finesse les sentiments et les émotions d’une jeune femme qui voit soudain son avenir vaciller.

Film d’Ouverture Un Certain Regard, Festival de Cannes 2024
Prix de la Jeunesse, Festival du Film de Cabourg 2024

Critique(s)

Le réalisateur, dont c’est le cinquième long-métrage, décortique les heures qui suivent le décès de Diddi, filme ce groupe d’amis en errance au travers de plans larges dans lesquels ils semblent perdus, puis capture la peine infinie, mais retenue de son héroïne dans une multitude de cadrages resserrés sur son visage.Sofilm, Marine Bohin, 22/05/2024
Empreint d’une profonde humanité, “When the Light breaks”, dont l’action se déroule sur une seule journée, parvient sans mal à émouvoir, grâce à une mise en scène d’une extrême pudeur, basée sur ce qu’il faut de symbolique (le très beau plan sur les silhouettes des deux jeunes filles à contre jour, la lumière du soleil entre elles…) ou de poésie (la façade de l’église qui se transforme en stade selon le point de vue…), et accompagnée de chœurs aériens aux voix cristallines.Abus de Ciné, Olivier Bachelard 
Quand il suit Una dans “When the Light Breaks” avec sa caméra, Runarsson ouvre l’horizon et créé un kaléidoscope de sentiments, à l'image de l’artiste danois Olafur Eliasson avec ses œuvres faites de lumière et de couleurs. Son nouveau film, tourné en 16 mm, est prodigieux, porté par une actrice extraordinaire.RFI, Siegfried Forster, 17/05/2024

Bande Annonce / Extrait

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